En Autriche, refuser les injections est passible d'une peine de prison de 12 mois.

 En Autriche, refuser les injections est passible d'une peine de prison de 12 mois.

eXXpress : Au lieu de l'amende promise de 7 200 euros pour avoir évité la vaccination, l'amende sera désormais plus légère, à 2 000 euros, mais cette modification de la loi contre les opposants à la vaccination reste explosive en termes de politique démocratique. Ainsi, les détracteurs et les opposants à la vaccination en Autriche risquent un an de prison. L'amendement a déjà été adopté par une commission parlementaire. 

Tranquillement et sans vouloir attirer l'attention sur lui, le gouvernement a complété le plan actuel pour répondre aux exigences de la vaccination prévue. En particulier, elle a modifié la loi sur les infractions administratives en conséquence. 

Le texte de la loi, qui a déjà passé la commission parlementaire nommée et a été approuvé par les principaux partis parlementaires, est disponible pour eXXpress.

En vertu des nouvelles règles, toute personne qui refuse de se faire vacciner contre le virus corona doit payer une amende de 2 000 euros. Mais il ne s'agit pas seulement d'un paiement unique : chaque infraction est à nouveau punie d'une amende de 2 000 euros. En définitive, pour avoir régulièrement refusé de vacciner et refusé de payer les amendes, le contrevenant doit être placé en détention.

Les délinquants devront payer eux-mêmes leur détention. La détention initiale a été ordonnée pour une durée maximale de quatre semaines. Toutefois, maintenant que les amendes ont été réduites, le gouvernement prévoit de porter la durée maximale de l'emprisonnement à un an.

Et ce qui est particulièrement explosif : Contrairement aux autres prisonniers, dont la détention est payée par l'État, la personne arrêtée doit supporter ses propres frais. Ainsi, le délinquant doit également payer sa nourriture et sa cellule.

Un autre extrait intéressant du texte de loi : "Les prisonniers doivent être détenus dans des cellules séparées des détenus détenus conformément aux autres dispositions de la loi fédérale". En d'autres termes, en vertu de cette modification de la loi, il y aura évidemment des étages ou des bâtiments de prison séparés pour les personnes opposées à la vaccination.

Le 2 décembre, la commission constitutionnelle a donné son feu vert au projet de loi - sans en discuter au préalable le contenu. Le décret entrera en vigueur dans quelques semaines en 2022. Le changement est encore possible, mais comme le montrent les extraits du procès-verbal de la réunion du comité dont dispose eXXpress, les membres des partis au pouvoir n'ont pas émis de critiques.

Jusqu'en décembre 2021, la palme de la pandémie revenait alternativement à l'Australie et au Canada, mais à en juger par cette nouvelle loi, l'Autriche sera clairement le vainqueur de la course. 

Les Allemands autrichiens sont toujours lents à atteler, mais rapides à monter. L'Autriche n'a pas été incorporée immédiatement au Troisième Reich, mais dès qu'elle l'a été, on a commencé à construire Mauthausen, un petit camp de concentration douillet qui compte 49 sections. Les prisonniers payaient également leur séjour en travaillant dur dans les carrières. Et comme c'était le vingtième siècle et que l'on ne construisait pas grand-chose en granit, la pierre a été utilisée pour construire des monuments représentant les dirigeants du parti national-socialiste autochtone.

Le parti national-socialiste en Autriche n'existe plus, mais le granit est toujours là. Et il y a la pandémie, avec laquelle il y a aussi une grande lutte. Il est donc probable que l'Autriche sera à nouveau sollicitée pour perpétuer la lutte contre la pandémie avec des monuments en granit, alors restez à l'écoute.

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